Je n’ai pas pour intention de se substituer à une formation, ni d’être un manuel classique d’apprentissage du logiciel.Il existe de nombreux ouvrages très complets, auxquels je ferai référence, et une aide en ligne claire et didactique.
Je vous donnera des clés de compréhension sur le D.A.O et sa culture.
Par pragmatisme, je propose de moins mettre l’accent sur cet aspect de vocabulaire d’AutoCad et sur l'utilisation de ses commandes, quitte à faire quelques maladresses, mais de renforcer l’aspect pratique.
La méthode proposée ici se démarque des autres méthodes plus conventionnelles ; elle se veut plus intuitive, et elle met en avant la mise en œuvre immédiate des savoirs acquis, à travers de nombreux exercices d’application, basés sur des cas d’école.
Les outils de base du dessinateur d’antan
que sont le té, la règle, l’équerre, les stylos à
plumes de différentes épaisseurs, le crayon à mine, etc. restent cependant intemporels et
inégalables pour réaliser une petite esquisse
à la main.
Désormais, la confiance sans limites dans l’ordinateur a fait perdre ce regard critique
et une certaine sensibilité graphique. En ce sens, la pauvreté actuelle du rendu graphique des plans techniques, qu’il s’agisse d’écritures ou de rendu des types de ligne, est flagrante. Les plans des bureaux d’études ou des cabinets d’architectes se
ressemblent désormais tous du point de vue de la sensibilité graphique. Les polices sont standardisées et uniformisées. Fini le temps des lettres calligraphiées et personnalisées avec soin sur un cartouche, lui
procurant un aspect unique.
Les véritables progrès de la révolution
du DAO sont la dématérialisation du dessin en données informatiques, facilement modifiables, que l’on peut éditer à
n’importe quelle échelle, la contrainte physique du
papier
ayant disparu. Comme nous le verrons.
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